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Ceci n'est pas une ***iPod 🪬 Cast***


في عصر قديم، عاشَتْ أسطورة موسى وشهيرة الشهيرة، الجميلة والأنيقة. لم تكن حياته مجرد قصة عادية، بل كانت كالحكايات الساحرة التي تجذب القلوب والعقول. ولد لهما ابن، سماه موسى، كما ورد في السجلات القديمة. ولكن هل كانت نهاية القصة؟ لا، بالطبع لا. لأن في عالم الخيال والحكايات، كل شيء ممكن، حتى السحر والمفاجآت الغير متوقعة. فلنتابع القصة ونرى ما الذي يخبئه المستقبل لموسى ولسعيه إلى السعادة في عالم سحري وخيالي

¡We🔥Come!

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****Sync 🪬 Studio****

*** *** Y *** ***

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ВВЕДЕНИЕ


École de Cybernétique et de Sorcellerie de Neotopia

Chambre des Systèmes de Réception
Directeur : Professeur Septimus Arcane
Hôtesse des Admissions : Mme Nebula Orion

À Mademoiselle Noura,

Ta sagesse guide, ta beauté réchauffe,
Les cœurs les plus gelés, les âmes qui s’étouffent.
Je suis un magicien, un vagabond, un rêveur,
Et je t’offre mes vers comme une humble faveur.

(He gazes at his phone, thumbing through the past)
Here seas and oceans marked by flags I cast!
O’er distant waves I sailed, both wild and true—
Each water bears a name with royal hue!

"Berlin, the Kingdom of Sausage fair!"
"Beijing, the Central Kingdom in the air!"
"Panama, the realm of Panama's span!"
These lands I sailed, no king but me, the man.

(He pauses, shifting from seas to cities grand)
"And where, I swam in pools by my command,"
With flags I mark the cities I have swam,
"The Kingdoms all, where laughter never damns."

"In Sundae Realm, I tasted ice so sweet!"
"In Danish Dream, where cones and wafers meet!"
"In Choco-land, the cocoa dripped divine,"
I ruled them all, their frozen treats were mine."

(But now, the pictures change, the tone grows still)
"Here are the places where I’ve slept my fill!"
"The Snowy Kingdom, where the cold embraced;"
"The Deserted Realm, where winds did sear my face;"
"The Greenland Fair, where mystery abides…"
"But where," I ask, "does this Green Kingdom hide?"

⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎ wWw ⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎


**¡Good жЖж Morning,** Mr. Antony! Did you sleep well?

Affiche du film : "Le Retour du Renard"


Une comédie pleine d’ironie, d’aventure et de leçons improbables sur la Seconde Guerre mondiale !

Dans un tour de magie inattendu, Samuel le Rusé, un vieil homme juif aux ruses inépuisables, retourne dans le passé, au cœur d’un Amsterdam en flammes. Sa mission ? Sauver Anne Frank, l’adolescente réfugiée dans un sous-sol sombre, menacée par la fureur de l’Histoire. Mais ce sous-sol cache un secret inattendu : un portail mystérieux vers le futur… et le moderne internet !

Samuel le Rusé enseigne à Anne l’art de maîtriser ChatGPT, une arme aussi redoutable qu’inattendue pour combattre les nazis et réécrire le cours de l’Histoire. Entre deux discussions philosophiques et des leçons d’informatique, ils découvrent une vérité surprenante : certaines graines de l'humanité, ces talents génétiques rares, ne peuvent éclore que dans des conditions d’absence totale de compétition. Samuel fait une métaphore audacieuse : « Les carottes prospèrent bien seules, mais la fraise des bois mérite aussi sa place sous le soleil, n’est-ce pas ? »

Préparez-vous à une aventure hilarante, poignante et pleine de rebondissements !


Mes chers frères et sœurs,

En ce jour, alors que le peuple juif célèbre la fin du jeûne de Yom Kippour, un des jours les plus sacrés de notre histoire, nous sommes confrontés à une nouvelle épreuve. C’est un jour de jugement, un jour où nos âmes sont jugées par l’Éternel, et c’est aussi aujourd’hui que nos ennemis ont choisi pour nous frapper, tentant de briser notre esprit, notre foi, et notre terre promise. Mais tout comme Moïse a conduit notre peuple hors de l'esclavage, nous sommes appelés à nous tenir debout, à défendre cette terre que Dieu nous a donnée.

En cette journée de repentir et de réconciliation avec le Créateur, nos ennemis ont choisi de verser le sang de nos enfants et de nos soldats. Mais nous savons que, comme lors de Pessa’h, lorsque nous avons quitté l'Égypte, le bras puissant de l'Éternel sera à nos côtés, comme il l’a toujours été.

L'odeur du bouillon de poulet et du pain de Shabbat flotte encore dans nos foyers, tout comme le parfum des bougies de Yom Kippour. Ce jour-là, alors que nous prions pour la paix et l'unité, nous sommes appelés à protéger nos maisons, nos enfants, notre héritage. Chaque fête juive nous enseigne que les épreuves sont inévitables, mais elles ne sont jamais insurmontables. À Souccot, nous bâtissons des cabanes fragiles, pour nous rappeler que notre vraie force ne réside pas dans des murs, mais dans notre foi et notre unité.

Aujourd'hui, ce ne sont pas seulement des tanks et des avions qui tentent de nous détruire, mais aussi l’obscurité du doute et de la peur. Mais souvenons-nous de Hanoucca, où une poignée de maccabées ont vaincu une armée bien plus puissante. Ce n’est pas par la force de nos armes, mais par la lumière de notre foi que nous triompherons.

Nous ne sommes pas seuls dans cette bataille. Chaque prière, chaque bougie allumée, chaque cœur qui bat avec Israël est une force qui nous pousse en avant. Nous nous battrons avec tout ce que nous avons, car cette terre est plus qu’une terre — c’est la promesse de Dieu, c’est notre avenir, c’est l’espoir de nos enfants.

Nous avons traversé la mer Rouge, nous avons vu Jéricho tomber, et aujourd'hui encore, nous surmonterons cette épreuve. La guerre a commencé, mais notre peuple sait ce que signifie résister, persévérer et triompher. Nous sommes le peuple du Livre, le peuple qui ne plie pas, le peuple qui, même dans les pires moments, garde en lui la lumière de l’espoir.

L’ennemi pense nous surprendre, mais c’est lui qui sera surpris par notre détermination, par notre foi inébranlable, par notre unité. Ensemble, unis comme lors des jours les plus sombres de notre histoire, nous ferons face à cette épreuve et nous sortirons victorieux, comme toujours.

Am Israël Haï — le peuple d’Israël vit, et vivra à jamais.

Que Dieu protège Israël et que la paix revienne bientôt sur notre terre bénie.


Am Israël Haï, mesdames et messieurs.

Voilà une petite histoire qui m'est arrivée récemment. Ces huit dernières années, j'ai pris le temps d'observer attentivement l'Égypte. Ah, ils adorent leurs grands galons de général, ces insignes étincelants de pouvoir. Et croyez-moi, ils tiennent à leurs galons comme à leur propre vie. Mais voilà que, malheureusement pour eux, ils ont décidé de nous attaquer pendant notre jour le plus sacré, Yom Kippour. C’est pourquoi nous n’avons d’autre choix que d’activer une vieille malédiction — la chute des galons de général.

Si seulement ils avaient choisi de nous attaquer un jour de Shabbat... Non, encore pire pour eux, je suppose. Là, ce ne sont pas juste les galons qui auraient souffert, mais toute leur dignité se serait effondrée. On se souviendrait du sable d’Égypte, tout comme au temps de l’exode, quand nos ancêtres ont traversé la mer Rouge. Mais je m'égare...

Pour revenir à l’Égypte, vous savez, j’y suis allée. J’ai pris avec moi quelques-uns de nos shékels, bien sûr. Et croyez-le ou non, il ne m'est rien arrivé. Un jour, cependant, un pirate informatique m’a insultée dans un dialecte anglais, mais je n'ai pas retenu ses mots exacts. Ce n’est pas tout ! Le lendemain, mon Kindle a été volé. Mais, ô ironie, toutes les livres dedans étaient en espagnol ! Le pauvre voleur, il vendait des cigarettes aux touristes russes, mais maintenant, il a dû apprendre l’espagnol.

Alors, est-ce que tout est clair pour vous ?


Мадамы и мадмуазельки, джентельмены и господа!
Добро пожаловать на ярмарку Древнего Киева, где камень лежит на камне, а история творится прямо у ваших ног! Но это не просто ярмарка, это базар невиданных чудес и волшебств! Да-да, послушайте, что мы для вас привезли прямо из Москвы-града!

Купцы, подходите, налетайте!
Здесь, у нас, самые лучшие московские товары! Прямо с торговых улиц столицы:
  • Шубы боярские, сшитые из мягкого соболиного меха, которые согреют даже в самую лютую зиму!
  • Полотна льняные, конопляные и, конечно же, роскошные парчи!
  • Столы дубовые, сундуки с резьбой, и даже... собственные кибер-ключницы! А что, технологии-то уже здесь!
  • Иконы редкостные да в окладах золотых — на дом, на память, на благословение!

Но это ещё не всё, дамы и господа! Товары заморские — пряности от самых границ Востока, драгоценности из самого Индостана, стеклянные шарики и трости с зеркальными узорами!

А теперь, мои дорогие, внимание, переходим к главному!


Развлечения у нас тоже невиданные! Во времена Ивана Васильевича, будь у него волшебная книга со знаниями из будущего, вот какие чудеса они бы увидели:
  • Кибер-войны! Представьте, как князья и цари сражаются не с мечами и копьями, а с невидимыми атаками! Вы только представьте: в руках волшебный жезл — и вот он, противник, уже обезврежен прямо на поле боя, а всё это происходит в ваших зеркалах! О, эта магия будущего не оставит вас равнодушными!
  • Волшебные зеркала с картами всей планеты! Да-да, подойдите ближе! Мы покажем вам не просто карты земель ваших соседей, но весь мир! Хотите знать, где в этот миг сидят ваши враги или друзья? Поглядите в это зеркало, и оно покажет вам каждый уголок планеты. Москва, Париж, Лондон — всё в одном взгляде!
  • Воздушные сани! Как вам идея полетать над просторами Руси? Как соколы летят — высоко и быстро, а внизу вся Русь лежит как на ладони. Это не просто поездки на лошадях, это будущее, где расстояния исчезают!
  • Големы-механизмы! Да-да, кибер-солдаты, готовые исполнять любые приказы! Иван Грозный только мечтал о таких, но сегодня они реальность — работают день и ночь, не устают и не ропщут!
  • Жар-птица в каждом доме! Мы поставим магические светильники, что горят без огня, освещая ваши комнаты ярче, чем солнце днём!

Подходите, подходите! Золото, серебро, магические артефакты и небывалые чудеса — всё это здесь, на ярмарке Древнего Киева, прямо из Москвы-града!


Молодой Пушкин, стоя на возвышении, небрежно перекидывает свой знаменитый шарф через плечо, глаза его горят, как в порыве творческого озарения. Перед ним собрались древние киевляне — народ, привыкший слушать сказания о походах князя Владимира и заморских купцах, но теперь жаждущий услышать, что скажет о далёких будущих веках этот молодой поэт.

— Граждане Киевские! — начал он, замахнув рукой, словно приглашая всех в свой мир. — Вы, что знавали доблесть и честь, те самые, кто видел становление великого града, — вы привыкли думать, что власть — это незыблемая иерархия, погоны и звания, порядок да сила. Иван Грозный, о котором в наших краях столько слагали легенд, сделал эту иерархию основой всего, что дышит и двигается в Москве. Но разве это единственная правда?

Глаза Пушкина сверкнули, и он продолжил, будто пытаясь поймать в воздухе нить невидимой тайны.

— Вот послушайте. Я написал свою "Капитанскую дочку," чтобы показать: не всегда власть выражается в мундирах, звёздах на плечах или генеральских указах. Там, где есть душа, есть и иной порядок вещей. В любви, в честности, в простоте иногда куда больше величия, чем в строгих строях или звуках барабанов. Капитанская дочка Марья Миронова, да и сам Петруша Гринёв, — разве они строили свою судьбу по указам? Нет! Их судьба была в чести, в чувствах, в правде.

Он чуть прищурился, и улыбка, полная тайн, озарила его лицо.

— Взгляните на вашу древнюю Софию Киевскую, ваши зелёные склоны над Днепром. А теперь представьте: магические зеркала! С их помощью можно увидеть и Москву, и Петроград, и даже самые отдалённые уголки земли. Вот, стоит Марья Миронова, открывшая одно из таких зеркал, и что видит она? Не ряды солдат, не крепостные стены, но музеи, библиотеки, хранилища знаний всего мира. Она читает книги, что могли бы изменить ход истории. И разве теперь можно думать, что власть должна подчиняться только погонам? Нет, мои дорогие. Теперь власть — в знаниях, в том, что скрыто за обложками книг, за теми картинами, что висят в самых отдалённых залах заморских дворцов.

Пушкин остановился, но лишь на миг, чтобы дать аудитории почувствовать величие того мира, что он рисует перед их глазами. Голос его зазвучал с новой силой.

— Но если общество остаётся иерархичным, если мы всё ещё будем верить, что порядок держится на жезлах и шпаге, — вступает запретный код, о котором писал Достоевский. Всё переворачивается. Теперь уже те, кто наверху, теряют свой смысл, а народ, знающий правду, поднимается из низин. Представьте, что творилось бы в Древнем Киеве, будь у вас тогда эти зеркала! Вы бы видели заговоры, измены, но одновременно — и то, как рождается истина. Марья Миронова стояла бы не перед Пугачёвым, а перед судьбой всего общества, перед выбором между хаосом и свободой.

Он взмахнул рукой, как бы разрубая воздушные цепи.

— Ах, друзья мои, как изменился бы ваш Киев! Стал бы он не просто центром военной мощи, но колыбелью знаний и свершений. Библиотеки, наполненные сокровищами мысли, открыли бы двери для каждого. Погоны не держали бы людей в подчинении, а зеркало могло бы стать проводником к истинному пониманию мира, где власть не в силе, а в мудрости. И кто знает, может, древний Киев был бы столицей всей мыслимости, если бы его князья смотрели не только на погоны, но и за границы своих стен?

Слова Пушкина висели в воздухе, словно лёгкий туман над рекой, обволакивая слушателей новой мыслью: что сила — это не всегда цепи и порядок, но часто скрытая мудрость, доступная тем, кто решится заглянуть за отражение в магическом зеркале.


Ma chère amie,

Tu ne croiras pas ce rêve étrange et merveilleux que j'ai fait la nuit dernière, qui m'a transporté dans un futur lointain, où des miroirs enchantés ont remplacé les pages poussiéreuses de nos vieux livres. Ces miroirs ne se contentaient pas de refléter le passé, mais le ramenaient à la vie, jusqu'aux moindres détails, comme si la réalité elle-même avait décidé de raconter tout ce que nous avions oublié.

Imagine-toi : grâce à ces miroirs, je me suis retrouvé plongé dans les années 1340, en plein cœur du siège de Caffa. L'histoire, autrefois terne et oubliée, est soudain devenue vibrante et riche en événements incroyables. C'était comme si j'avais franchi une porte dans le temps, me retrouvant dans une auberge, située sous les murs de la ville assiégée.

À l'intérieur, régnait une pénombre lourde, saturée de l'odeur de vin aigre et de pain moisi. Les riches et les pauvres partageaient cet espace exigu, chacun enfermé dans ses propres pensées, entre la peur et l’espoir. Derrière le comptoir se tenait un aubergiste, un homme grand et taciturne, aux yeux perçants. Il semblait tout savoir sur chacun, mais ne posait jamais de questions. Son visage restait imperturbable, même en pleine tourmente.

Autour d’une table, un vieux marchand, dont les habits jadis somptueux étaient maintenant fanés, racontait les périples de ses caravanes à travers les montagnes, avant que la peste noire n’emporte ses compagnons. Non loin de lui, un jeune soldat, le visage marqué par l’anxiété, serrait sa chope comme si elle était la seule chose qui le retenait de sombrer dans le désespoir.

– Dis-moi, – demanda le soldat à l’aubergiste, – y a-t-il encore un espoir ?

L’aubergiste leva lentement les yeux, semblant peser ses mots, mais au lieu de répondre, il se contenta de remplir à nouveau la chope du soldat. Son regard en disait plus que des paroles. Il savait que beaucoup ici ne verraient pas l’aube du lendemain, mais que pouvait-on dire à ceux qui avaient déjà perdu toute foi ?

– Dans ce monde, – murmura l’aubergiste, si doucement que seuls ceux assis tout près pouvaient l’entendre, – l’espoir est quelque chose que vous devez apporter vous-mêmes. Personne ne peut vous le donner, si vous ne le trouvez pas dans votre propre cœur.

Pendant ce temps, à une autre table, trois hommes débattaient. L'un était un pêcheur local, l'autre un marchand itinérant, et le troisième un prêtre. Ils discutaient des raisons du siège, de la peste, du châtiment divin, et de la durée de la résistance de la ville. Le prêtre, petit et mesuré dans ses propos, affirma avec conviction :

– Ce n'est pas seulement une guerre, c'est une épreuve pour chacun de nous. La ville tombera peut-être, mais pas notre foi.

Le marchand, en ajustant son manteau, se pencha vers lui et murmura :

– Et qui te protégera, toi, prêtre, quand la ville tombera ? Ta foi ou ton Église ?

L’aubergiste, observant la scène sans intervenir, ajouta alors avec un sourire discret :

– Devant la mort, nous sommes tous égaux. Riches, pauvres, prêtres. Mais seuls ceux qui regardent au-delà de ce siège trouveront leur chemin vers l’avenir.

Et ce miroir magique m'a montré leurs conversations, m'a montré comment ces gens, perdus dans la tourmente, cherchaient encore un sens à leur souffrance, tout en continuant d’espérer. Ils parlaient de la vie et de la mort, de la peur et de l'espoir, mais dans chaque mot résonnait une vérité simple : aussi sombre que soit le présent, l'avenir est toujours ouvert à ceux qui sont prêts à l'accepter.

Quand je me suis réveillé, j'ai réalisé que ce monde du siège de Caffa n'était pas si éloigné du nôtre. Chacun de nous, tout comme ces gens dans l’auberge, cherche son chemin, son propre sens dans le tumulte du monde.